Tous les billets d'humeur

J'ai beaucoup écouté cette chanson de Noir Désir. Un groupe de rock français au moment de mon adolescence, inespéré !! Le rock c'est d'abord de la guitare je trouve, de la grosse guitare même qui envoie lourd ! Je connaissais Nirvana avant de découvrir Noir Désir, mais ce n'est pas pareil, cela n'a pas le même impact en raison des paroles en français. Et la chanson " Aux sombres héros de l'amer " m'a énormément touché. J'étais en terminale, plutôt malheureux, angoissé, et tomber sur cette chanson a été une belle surprise. Un groupe populaire, à la mode chez les jeunes, qui me parle, qui parle de moi. Tiens c'est incroyable ! La première strophe de la chanson nous met tout de suite dans le bain :

 Aux sombres héros de l'amer
Qui ont sû traverser les océans du vide
À la mémoire de nos frères
Dont les sanglots si longs faisaient couler l'acide

Puis après deux vers en anglais : Always lost in the sea - Always lost in the sea 

La chanson est lancée, bien lancée. On parle de souffrance, de douleurs que l'on peut ressentir, souvent sans faire de bruit, dans notre coin, seul.

Voilà, cette chanson est forte en paroles, en messages, en émotions, et s'il faut en retenir une chose c'est qu'il faut toujours garder espoir, et chercher à exprimer ses souffrances à quelqu'un pour ne pas rester seul.

Cela ne fait que quelques années, seulement une vingtaine d'années, ce qui fait très peu à l'échelle d'une société, qu'internet s'est introduit dans nos vies. Et quel bouleversement ! Quelle révolution ! Les mails, les sites d'infos, les blogs, les achats sur internet, les forums, les réseaux sociaux. Internet a changé nos vies, et ce n'est sûrement pas fini. On y passe beaucoup de temps ... pour le meilleur ou pour le pire ! J'ai plutôt envie de parler du meilleur. Déjà, surfer sur internet, c'est pratique et amusant. Cela ne demande pas beaucoup d'efforts, on passe d'un site à un autre, souvent à partir de nos " favoris ", pour se tenir au courant de l'actualité en général. On peut aussi utiliser facilement un moteur de recherche pour trouver une nouvelle info.

Les réseaux sociaux également. Certaines personnes y passent un temps fou ! Personnellement j'ai un compte Twitter, donc je connais assez bien ce réseau social. Je ne connais pas Facebook par contre, autre grand réseau social. Et il y en a d'autres. Donc pour Twitter, ce qui m'intéresse c'est d'avoir des infos sur l'actualité et sur le sport assez rapidement. Twitter me permet d'avoir un tri sur les infos essentielles, je peux ensuite lire des articles joints aux tweets si j'en ai envie. Autre intérêt de Twitter je trouve, suivre et voir ce que pensent certaines personnes, des journalistes et des sportifs. C'est l'esprit de Twitter, donner de ses nouvelles et dire ce que l'on pense sur un sujet. C'est intéressant de connaître les réactions ou points de vue de personnes que l'on aime bien.

Il existe plusieurs réseaux sociaux, je n'en suis pas un spécialiste, cela doit demander énormément de temps, et en plus je n'en vois pas l'intérêt. Je me contente de Twitter, et j'essaye déjà de bien utiliser ce réseau social. Je pense que l'atout de Twitter est de pouvoir réagir à des infos ou à des déclarations de personnes, à bon escient, c'est-à-dire dans le but d'un échange constructif, dans la mesure du possible. Car c'est bien ça la limite de Twitter, pouvoir échanger de manière lisible, car on peut rapidement partir dans des débats ou polémiques à n'en plus finir. Twitter doit donc peut-être évoluer pour faciliter des échanges clairs, ou bien un nouveau réseau social va émerger pour rendre ce service. On est bien en effet dans le domaine du service. On suivra donc l'évolution des réseaux sociaux, qui deviendront peut-être plus pratiques et utiles.

J'aime beaucoup cette chanson, elle m'évoque l'enfance, mon enfance quand je passais une bonne partie de l'été à la plage. On disait les grandes vacances, c'était bien, c'était interminable !! Ceux qui ne connaissent pas cette chanson peuvent l'écouter facilement sur internet par exemple. La chanson commence comme ça : " Sur toutes les plages du monde, sur toutes les plages y a des mômes, qui font signes aux bateaux, ... ". C'est ça l'enfance à la plage, on passe du bon temps, toute cette étendue de mer à nos yeux nous fait rêver. Les bateaux qui vont vers des mondes inconnus aussi. On est alors dans le moment présent, dans l'insouciance, et on rêve aussi, on se projette vers des mondes lointains ou vers le futur. Un doux moment de rêve. 

Cette chanson de Jean-Louis Aubert fait rêver, elle est pleine de sensibilité. Les paroles sont peut-être très personnelles, peu importe, la chanson nous touche c'est ça le plus important. Elle me fait penser aujourd'hui que toutes les plages se ressemblent un peu. On peut en tout cas trouver du bonheur sur n'importe quelle plage, à côté de chez soi ou en vacances. Même adulte sur toutes les plages du monde on peut se faire plaisir, s'amuser, et rêver aurait pu chanter Jean-Louis Aubert.

Le marathon ne laisse pas indifférent. Même les gens qui ne sont pas sportifs sont impressionnés par le marathon, par le nombre de kilomètres qu'il faut courir ( ou marcher parfois ). Le marathon demande une bonne préparation, on ne s'élance pas dans un marathon sans un bon entraînement et sans quelques années déjà de pratique de la course à pied. Il faut s'entraîner au moins trois fois par semaine, enchaîner les heures de course, et arriver à courir au moins 25-30 kilomètres à l'entraînement, avant de s'aligner au départ d'une telle course ! Les semaines pour préparer le marathon auront été exigeantes et assez fatigantes, et le départ va être donné. Sans même être un champion, le marathon demande à tout coureur beaucoup d'efforts. Il faut se surpasser pour arriver à courir 42 kilomètres, pour gérer aussi la douleur inhérente à ces très nombreux kilomètres à parcourir. A un moment donné ce sera dur, voire très dur. Finir un marathon est donc déjà une performance. Peu importe la vitesse à laquelle on le fait. En général on se fixe un temps à réaliser. Car on aime quand même avoir un challenge lorsqu'on prépare une telle course de fond. Courir à 12 ou 10 km/h par exemple. C'est-à-dire partir prudemment sur ces allures, qui paraissent faciles les 15-20 premiers kilomètres, et qui deviendront de plus en plus difficiles à mesure que les kilomètres seront parcourus et que les jambes fatigueront et seront de plus en plus dures. Il faut penser à bien s'hydrater et s'alimenter tout au long du parcours pour éviter un gros coup de fatigue, le marathon n'a pas besoin de ça, il est assez éprouvant comme ça !

On peut voir un marathon se dérouler près de chez de soi ou à la télé. Il faut bien garder à l'esprit qu'il n'y a pas que les champions qui courent le marathon en moins de 2h15' qui sont impressionnants. Tout coureur qui arrive au bout de cette course réussit déjà une sacrée performance !

S'il arrive un jour !! Si si ayons confiance ... les vaccins arrivent !! Dans le monde d'après, j'essaierai le surf, ça a une image cool le surf, et pour draguer les filles c'est aide ! J'essaierai le surf donc, mais ça n'a pas l'air facile. Au pire je ferai du surf sur le sable ! Adieu alors les sensations des vagues qui te portent, et les longs tubes de glisse où le temps semble s'arrêter. Il faut avoir des projets pour le monde d'après, des projets auxquels on n'aurait peut-être jamais pensé. Le surf je n'en ai jamais fait. ça a l'air sympa pourtant, mais je n'ai jamais vraiment eu l'occasion, et je devais trouver ça trop difficile. On est amené à voir la vie un peu différemment aujourd'hui à cause ce virus chinois. Il faut simplement tenter le surf ! Il faut aussi que j'apprenne à écrire. C'est important de savoir bien s'exprimer. Pas pour être écrivain et sortir le best-seller. Non, pour savoir dire ce que l'on pense, ce que l'on ressent, en écrivant des phrases, des textes, qui ont du sens, qui donnent à réfléchir et/ ou à rêver. Avec un peu de style, des mots bien choisis. Voilà, le billet du jour était court, tout ceci n'est qu'au stade de l'idée, il faut développer tout ça, on a le temps, le monde d'après n'est peut-être pas près d'arriver ... !!

Le sport est rythmé tout au long de l'année par les compétitions. Elles nous font vibrer, sur le terrain ou devant notre télé. Elles donnent envie aux enfants et aux grands aussi de faire du sport. En ce moment c'est assez particulier comme les sportifs amateurs de tous âges sont privés de compétitions en raison de la Covid-19. L'occasion peut-être de revenir à l'essentiel, le plaisir de faire du sport. Pour moi c'est la course à pied, le plaisir simple mais fort de courir, courir pour le plaisir donc ! Je ne cours pas en ce moment, mais je vais bientôt m'y remettre, progressivement bien sûr. Mais pour avoir couru pendant de nombreuses années, de jeune adolescent à adulte, je connais bien les sensations que procure la course à pied, on dit running maintenant pour faire mieux mais ça ne change rien dans le fond !!

Courir c'est simple en fait, naturel. On court pour parfois rattraper son retard, pour un rendez-vous ou pour prendre son bus. On court aussi donc pour le plaisir. Le plaisir de se sentir en forme, de se sentir en bonne santé, tout simplement, sans esprit de compétition. On court pour soi, seul ou en groupe, mais toujours avec le plaisir en premier objectif. Le plus simple pour débuter la course, c'est alterner marche et course à petite vitesse, à petite foulée. Par exemple, marcher 100m et courir doucement 100m, recommencer comme ça 5 à 10 fois lors des premières sorties. A raison d'un ou deux entraînements par semaine, on pourra ainsi courir au bout de quelques semaines entre 2 et 6 km sans s'arrêter, toujours en cherchant un rythme facile. On ressentira alors le plaisir d'avoir du souffle, de se muscler les jambes, et d'améliorer progressivement son endurance. Beaucoup de satisfactions physiques donc. On a souvent tendance à dire qu'il faut s'entraîner 3 fois par semaine pour progresser, mais sortir courir 2 fois par semaine est suffisant pour progresser à la course, c'est-à-dire pouvoir courir plus longtemps et un peu plus vite par moments.

Allez on met tous nos chaussures de running et on court une ou deux fois par semaine, entre 20 et 40' à chaque fois. C'est bon pour la santé, cela permet aussi de déstresser, et donc c'est une activité physique qui procure du plaisir tout simplement. Pour améliorer sa technique de course et avoir des conseils d'entraînement n'hésitez pas à vous rapprocher d'un club d'athlétisme et d'un entraîneur.

La musique rock peut-être elle poétique ? Oui pardi ! Par exemple, j'adore la chanson " J'aime regarder les filles " du chanteur Patrick Coutin, sortie en 1981. J'ai découvert cette chanson lors d'une soirée entre copains ... en 1993. Une découverte oui, je ne l'avais jamais entendue. Cela a été un choc ! J'ai adoré ! Cette chanson plutôt légère, sympa, me parlait beaucoup, elle résumait parfaitement mes années plage d'alors : soleil, mer, sable, bronzage, copains et copines, et grandes vacances. Ah les grandes vacances, ça ne devrait jamais s'arrêter !! 

Les deux premiers couplets pour se rappeler la chanson et se mettre dans l'ambiance, on s'y croirait vraiment ( !! ) : 

J'aime regarder les filles qui marchent sur la plage
Sur leur peau le soleil, caresse bien trop sage
Le vent qui les décoiffe, un goût de sel sur mes lèvres
J'aime

J'aime regarder les filles qui marchent sur la plage
Les hanches qui balancent et les sourires fugaces
Je regarde les vagues qui jouent avec leur corps
J'aime

J'invite tout le monde à écouter cette chanson, ou la découvrir même. Car c'est une chanson avant tout, elle s'écoute, avec sa musique, alternant balade et rock très puissant, et ses paroles. Quel coup de génie de Patrick Coutin, chanteur peu connu pourtant. Il vit vraiment cette chanson, légère peut-être mais belle, magnifiant la plage ... et les filles !

Dans un prochain billet j'évoquerai la chanson " Aux sombres héros de l'amer " du groupe Noir Désir, un autre poème rock !

J'avais envie de parler d'un problème de logique que j'ai trouvé sur un site. Le voici tel qu'il est énoncé :

" Aristide élève des chevaux. Il possède des fils pour clôtures électriques de 30 mètres de long chacun. A l’aide de chacun de ces fils, il peut créer un enclos rectangulaire de 30 mètres de périmètre. Il s’aperçoit qu’avec des dimensions égales à des nombres entiers de mètres, la largeur étant toujours au moins égale à deux mètres, il peut créer tous les enclos différents possibles et que le nombre d’enclos correspondrait exactement au nombre de ses chevaux.Combien Aristide possède-t-il de chevaux ? "

On sèche ?? Difficile hein ? Tout le long de l'énoncé du problème on nous parle de fils pour clôtures, sans en dire le nombre en plus, et à la fin on nous demande combien y a-t-il de chevaux ... ? C'est déstabilisant ... C'est complexe. Je me suis un moment, un bon moment, dit que ce problème était impossible à résoudre, l'énoncé est court donc a priori facilement compréhensible, et je ne voyais pas comment débuter ma réflexion ... Problème impossible à résoudre, ou alors il manque des éléments dans l'énoncé ? J'ai alors relu l'énoncé du problème une dizaine de fois car il n'y a jamais d'erreurs dans les énoncés de ces " jeux-problèmes ", c'est forcément moi qui aie loupé un truc. J'ai alors eu un éclair de génie !! Je me suis souvenu de problèmes auxquels j'avais beaucoup joué dans un magazine. En fait tous les mots de l'énoncé du problème ont leur importance et peuvent contenir des indices pour pouvoir démarrer son raisonnement. Pour pouvoir résoudre ce problème il faut donc se demander quels indices donnent les éléments que l'on connaît sur les fils de clôtures. Bon jeu !!